Chaque marque a une identité bien définie, avec des valeurs spécifiques qui se reflètent dans l'offre de produits, les caractéristiques et le design, ainsi que dans les mécanismes de communication.
Nous restons convaincus que notre modèle économique équilibré associant croissance rentable et démarche résolument responsable, est créateur de valeur pour tous et s’inscrit pleinement dans notre contribution au mieux-vivre dans les foyers du monde entier.
17:40 (CET)
Ventes provisoires 2024
Ventes et résultats 2024 - Communiqué de presse
18:00 (CET)
Ventes et résultats 2024 - Conférence
All over the world, Groupe SEB teams total some 34,000 employees. To uphold the collective approach that ensures its success, the Group focuses on developing skills and encouraging performance and quality of life in the workplace, through shared vision of its values and strategy.
Évoluer professionnellement dans le Groupe SEB, c’est possible… et encouragé. En 2018, la majorité des postes de managers ont été pourvus par promotion interne, en France comme à l’international, et pour 80 % des postes clés, les plans de succession s’appuient sur des collaborateurs du Groupe. La mobilité géographique et professionnelle est facilitée par la publication des offres d’emplois sur le site iMove@SEB. Par ailleurs, depuis fin 2018, les collaborateurs peuvent consulter sur l’intranet les descriptions des 250 types d’emplois existant dans le Groupe.
Pour progresser, la formation est un levier essentiel de développement des compétences : plus de 80 % des salariés du Groupe en bénéficient au moins une fois par an. L’elearning continue sa montée en puissance sur la plateforme digitale iGrow@SEB qui propose plus de 160 modules accessibles à la très grande majorité des collaborateurs connectés. Les formations de haut niveau sont organisées par l’Université Groupe SEB. En 2018, elle a conçu un nouveau programme à l’attention des managers de niveau intermédiaire : Management & Leadership in Action. Proposé dans cinq langues différentes, il devrait concerner 1 300 managers sur 4 ans.
En France, le Groupe SEB et les partenaires sociaux collaborent dans une démarche de Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC). Elle intègre une offre de formations qui accorde une large place au digital (Usine du Futur par exemple), au développement de passerelles entre métiers et au tutorat d’expertise. Celui-ci permet à un salarié expérimenté de transmettre ses connaissances à un tutoré, sur une période de plusieurs mois. Le Groupe souhaite doubler le nombre de tuteurs d’expertise en 2019.
Plus de 70 % des jeunes diplômés embauchés par le Groupe sont issus d’un vivier de jeunes talents qu ’ il entretient de plusieurs façons : relations étroites avec des établissements d’enseignement supérieur ciblés, accueil de plusieurs centaines de stagiaires et alternants chaque année et programmes spécifiques comme le Graduate program dont la première promotion a vu le jour en 2018. Il s’adresse à des jeunes issus d’écoles de commerce, d’ingénieurs et d’universités et leur offre la possibilité d’effectuer au sein du Groupe un parcours avec trois missions successives : douze mois en France, puis deux fois six mois à l’international, au sein de filiales.
La diversité étant source de dynamisme, de créativité et d’innovation, le Groupe la cultive dans toutes ses composantes : égalité femmes /hommes, mixité culturelle et sociale, équilibre entre jeunes et seniors, intégration des personnes handicapées… De fait, la proportion des femmes augmente dans le management : en 2018, elles représentaient 38 % de l’effectif des managers au niveau mondial contre 29 % en 2007. Certaines entités sont particulièrement bien placées en termes de parité, comme le cluster Europe Centrale Sud : les femmes y occupent 5 des 11 sièges du Comité de Direction, 19 des 28 postes d’encadrement et elles représentent 50 % des employés. En France, elles ont totalisé 60 % des embauches de managers. Dans ce pays, l’égalité professionnelle entre femmes et hommes fait l’objet d’un accord collectif qui a été renouvelé fin 2018. Il précise et amplifie les actions déjà engagées, notamment pour tenir compte des évolutions sociétales.
71 % des collaborateurs se disent fiers de travailler pour le Groupe et 68 % estiment que c’est une entreprise où il fait bon vivre (soit quatre points de plus que la moyenne du secteur) : c’est ce qui ressort du baromètre Great Place To Work sur la période 2016-2018. Cette enquête, conduite par le Groupe depuis 2012, est réalisée tous le s deux ans dans une quarantaine de pays. Elle sert de point d’appui à chaque entité pour définir des actions de progrès en impliquant les équipes. En France, les actions prises pour améliorer la qualité de vie au travail incluent de nombreux dispositifs comme le télétravail (près de 500 salariés l’avaient adopté en 2018), une permanence d’assistant(e) social(e) sur tous les sites ou encore, sur certains sites, des services de kinésithérapie, ostéopathie et psychologie du travail, ainsi que l’accès facilité à des places en crèches interentreprises et la création de conciergeries / services à la personne.
En matière de protection sociale, le Groupe souhaite offrir à ses collaborateurs, partout dans le monde, une couverture de bon niveau, indépendamment des obligations réglementaires. En 2018, il a commencé le déploiement d’un socle mondial qui s’appuie sur trois piliers : assurance-décès, prise en charge des hospitalisations et visites médicales préventives, parentalité (congé maternité et paternité). Chaque salarié, quel que soit son pays et son niveau hiérarchique, bénéficiera d’un même minimum de garanties. La mise en oeuvre se fera progressivement jusqu’en 2020.
Le Groupe s’est fixé un objectif ambitieux pour 2020 : diviser par deux le nombre d’accidents par rapport à 2017. Dans les usines, la santé et la sécurité sont systématiquement à l’ordre du jour des réunions quotidiennes réalisées sur chaque ligne de production. sachant que plus de 75 % des accidents pourraient être évités par une évolution des comportements, la Visite Comportementale de Sécurité (VCS) joue un rôle central parmi les standards sécurité du Groupe. Elle vise à éliminer les pratiques et conditions dangereuses en se fondant sur un dialogue entre le salarié « visité » et un supérieur hiérarchique. Elle intègre les aspects santé et ergonomie avec des points de contrôle liés aux postures. Chaque salarié d’un site industriel ou logistique fait l’objet d’une telle visite en moyenne deux fois par an pour les secteurs à risques.